Portrait | Pascale, contrôleuse.
Pascale a toujours emballé ! En passant par des chips chez Croky puis des clous, des vis chez Provost, le leader du rayonnage français, Pascale respecte à la lettre le cahier des charges du conditionnement.
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Pascale a toujours emballé ! En passant par des chips chez Croky puis des clous, des vis chez Provost, le leader du rayonnage français, Pascale respecte à la lettre le cahier des charges du conditionnement.
C'est à 17 ans, son CAP de couturière en poche, que Danielle débute dans la vie active chez un fabricant de draps et taies d’oreillers. Elle travaillera par la suite dans la bonneterie « Hautes Voies » à Marcq-en-Baroeul, une entreprise spécialiste de la fabrication de chaussettes. Malheureusement, comme beaucoup d’entreprises de ce domaine, elle déposera le bilan quelques années après, ayant subit la délocalisation de l'industrie textile.
B CORP est un label reconnu dans le monde entier. Il est même considéré comme le plus complet en termes d’impact social, environnemental et sociétal. Le label BCORP (Benefit Corporation), fut lancé en 2006 aux Etats-Unis. C’est un label qui certifie que l’entreprise détentrice, s’engage sur un chemin de transformation. Il avait pour idée de faire évoluer le capitalisme en pensant un modèle qui assure la parité et l’équité ainsi que des emplois de meilleure qualité, mais aussi qui limite la pauvreté tout en se concentrant sur l’environnement.
Avez-vous déjà entendu parler du terme « The Third Place » ? Pas d’inquiétude, cela ne signifie pas que vous êtes arrivés à la troisième place, il s’agit simplement de la traduction du mot français Tiers-Lieu. A l’origine, c'est le sociologue américain Ray Oldenburg qui construit la notion de « tiers-lieu » , dans un ouvrage paru en 1989, « The Great, Good Place ». Ce dernier caractérise ces tiers lieux comme des espaces ouverts, des collectivités, où des personnes peuvent se réunir pour travailler, échanger, faire des activités et partager. C’est un lieu ouvert à tous ayant pour objectif de développer les rencontres et de créer une synergie entre différentes personnes.
La culture de fibres de lin demande une situation bien précise. En effet, plusieurs conditions doivent être réunies pour que la production du lin soit optimale. Le climat doit être océanique et doux et doit alterner entre soleil et pluie. Pour que la croissance des fibres soit régulière, Un printemps doux et régulièrement pluvieux est idéal. Sachez que c’est dès la première étape que la météo est importante, si celle-ci n’est pas clémente, les fibres ne parviendront pas à atteindre la maturité.
Le coton est une matière regorgeant de qualité. Dans un premier temps, on peut dire que le coton est très réputé pour ses qualités d’absorption. En effet, les fibres de coton peuvent absorber jusqu’à 8 % de leur poids en eau. Grâce à cela, la fibre est rendue douce et souple et bien entendu, confortable. Regardez dans vos placards de salle de bain, la plupart de vos serviettes sont en coton.
Le sous-vêtement, on le porte au quotidien. Il se doit d’être agréable à porter afin d’affronter la journée en toute tranquillité. On pense souvent au boxer pour homme, cependant, il existe différents modèles et différentes coupes de sous-vêtements homme, qui peuvent rendre le choix difficile. Boxer, caleçon ou slip ? On vous conseille aujourd’hui !
S’il y a bien une matière que l’on peut porter été comme hiver, c’est le lin. Surprenant ? Pas tant, le lin est une matière thermorégulatrice. Cela signifie que le tissu s’adapte à la chaleur de notre corps peu importe la saison. L’été, le lin est en effet très agréable car il s’agit d’une matière très respirante qui va libérer l’air ou la retenir, si la température extérieure est plus fraiche.
« Le sourcing durable c’est penser l’approvisionnement de la matière première de façon éthique et responsable, en y intégrant la conception globale et la fin de vie de son produit. L’approche systémique du sourcing, c’est utiliser de façon pérenne la dynamique sourcing, la dynamique de production et la dynamique de redistribution, en conscientisant l’impact carbone.»
Faisons un bond dans le passé : c’est au XIXe siècle que le marcel fait ses premières apparitions. En effet, ce vêtement voit le jour dans une usine, où un ouvrier décide de couper les manches de son t-shirt, afin d’être plus à l’aise dans ses mouvements. S’en suit alors un grand succès pour ce nouveau vêtement, s’avérant très pratique pour le travail physique. Et… pourquoi Marcel ? Cela ne vient pas de votre cher oncle, désolé. Ce maillot porte le nom de Marcel Einseberg, propriétaire de la bonneterie Marcel située dans la Loire. Ils furent les premiers à démarrer la production de ce nouveau vêtement, très vite adopté par les manutentionnaires.
Avant de démarrer le projet, Sigrid a travaillé durant 20 années, à l’Université de Lille comme chargée d’aide à l’insertion professionnelle. Elle avait en tête de faire autre chose depuis plusieurs années et de fil en aiguille, la création d’un tiers-lieu est devenue une évidence pour elle.
Le lin est une matière naturelle, authentique qui peut se garder des années si l’entretien du lin est effectué correctement. Et oui, le lin s’entretient, et d’ailleurs, c’est bien ce processus qui va l’embellir. Grâce aux pectines présentes dans la fibre de lin, la matière va venir se patiner et devenir davantage douce au fil des lavages.
Lorsque l’on parle d’agriculture biologique, on parle de mode de production ayant recours à des pratiques culturales soucieuses et respectueuses des équilibres naturels. On ne tolère aucun produit chimique, aucun organismes génétiquement modifiés ou autres intrants dans ce type de culture. L’objectif est de préserver la qualité des sols, de la biodiversité de l’environnement et de réduire l’utilisation des ressources naturelles comme l’eau.
Les tissus en lin sont avant tout réputé pour sa solidité et sa résistance. En effet, c'est une des fibres naturelles les plus légère mais d’une résistance incomparable. Grâce à cette solidité, le vêtement pourra être conservé des années, sans que le tissu ne bouge ou ne bouloche. Le lin est même comparée à de l’acier ! c’est dire ! Mais vous me direz, les lavages dégrade le tissu non ? Et bien non, étonnamment, c’est tout le contraire. Plus vous laverez votre vêtement, plus il deviendra souple. Ceci grâce à la pectine présente dans la fibre textile qui se dissout au contact de l’eau. Bon cela ne veut pas dire qu’il faut abuser des lavages, on pense aussi à notre planète.
La marinière ce n’était pas gagné au départ ! Pas gagné pour conquérir le cœur des Français. A l'origine, la marinière n'était pas l'uniforme du marin comme on pourrait le prétendre. En effet, ce vêtement était peu convoité et mal perçu jusqu’au XVIIIe. On pouvait la voir portée par les prostitués ou les prisonniers. Ce n'est qu'un siècle plus tard que la marinière change de facette et de milieu pour intégrer le vestiaire de la marine de France.
Lucette ? C’est la gentillesse incarnée. Toujours le sourire et le petit mot qui fait plaisir. Elle va bientôt laisser sa place à l’atelier de confection car il est temps pour elle, de prendre sa retraite bien méritée après 43 ans de bons et loyaux services chez Lemahieu.
Consommer local, c’est faire le choix de privilégier la consommation d’aliments ou de tout autres produits provenant tout droit de la région ou d’un lieu de proximité. L’objectif étant de privilégier le circuit court, limiter les intermédiaires et acheter au près de producteurs locaux des produits de saison. Acheter au près des producteurs locaux c’est aussi connaitre l’origine du produit et donc améliorer la traçabilité de l’aliment. C’est aussi pour un souci de transparence que le consommer local et l'achat de produits locaux sont aussi plébiscités aujourd’hui.
Même si, comme son nom l’indique, le t-shirt vient à l’origine des Etats-Unis, le tee-shirt peut être français. Mais comment ? On peut parler de deux façons quant à l’appellation « Made in France ».
Les fibres textiles sont réparties en plusieurs catégories. Vous en connaissez sûrement une partie, cela doit être le cas pour les fibres synthétiques. En effet, les fibres synthétiques sont celles qu’on connaît le plus souvent, car on les retrouve en masse depuis des années dans les produits vestimentaires. Ces fibres sont les matières premières dont profitent beaucoup de marques de fast fashion au vu du coût très bas qu’elles offrent. On en retrouve dans bon nombre de leur produit. En bref, ce sont les fibres les plus utilisées au monde dans le produit textile, à la différence des fibres d'origine naturelles dont la composition est bien meilleure.
Par définition, l’endométriose est une maladie définie par la présence de fragments de muqueuse utérine (l’endomètre, d’où son nom…) en dehors de l’utérus. Ces fragments présents dans l'endomètre comportent des tissus dont le rôle est de protéger les vaisseaux sanguins de l'utérus. On parle alors d’endométriose, lorsqu’on présente des lésions sur ce tissu.
On doit l’origine du mot pyjama à l’Asie du Sud-Ouest. En effet, le mot « Pyjama » vient du mot indien « Pajama » signifiant « vêtement de jambe ». Drôle de nom pour cette tenue que l’on a l’habitude de porter pour passer une douce nuit de sommeil. Sachant même qu’à cette époque, il ne s’agissait pas d’un ensemble mais plutôt d’un pantalon resserré aux chevilles accompagné d’une tunique large.
Plusieurs noms sont proposés pour ce type de fibres transformées. On peut les appeler les fibres synthétiques, les fibres artificielles ou simplement les fibres conventionnelles, de par leur généralisation dans l’industrie textile. Il existe tout de même une légère différence entre les fibres artificielles, issues d’une transformation chimique de substances naturelles et les fibres synthétiques, fabriquées à partir de polymères organiques. En clair, on peut les regrouper dans la catégorie des fibres chimiques.
A 62 ans, Colette a toujours travaillé dans la couture et la confection. Elle a commencé à l’âge de 16 ans, comme empièceuse en confection chez Yolène Gefadi. Puis elle devient chef de coupe à Tourcoing (4 tables de coupe et une coupe automatique Gerber). De 1998 à 2000, elle monte sa propre société de confection : Ets Rathana Confection, avec 20 salariés. Elle devient ensuite gérante de la « SARL Création 2000 » de 2000 à 2012 avec 37 salariés.
Sidikh a toujours travaillé dans la couture. A Dakar, il était dans la mode. Il confectionnait ses propres créations et organisait ses défilés de mode. Puis pendant 8 ans, il était dans la fabrication de sarouels.